vendredi 30 mars 2007

L'indélicate musique

La sombre lueur rentra dans la pièce où se tenait l'officier Allemand, le journal à la main, la cigarette aux lèvres. Cet homme, dont la fumée était sombrement illuminée par la lueur, regardait fixement ce journal. Ses doigts ne tremblaient pas, pourtant une énergie se ressentait. Le regard parcourait toujours la même page, commençait toujours à la même lettrine pour toujours se bloquer sur le même mot. Ces pages jaunies par le temps, noircies par la bougie, blanchies par l'écriture demeuraient un mystère pour cet Allemand.

Le 25 Juillet 1942, l'officier Allemand, Von Dertïner fut chargé de mission. Il dirigerait l'assaut de la fameuse ville d'Autriche-Hongrie, kitzbühel. Von Dertïner ordonna son assaut pour le 16 Août 1942. Cette petite contrée reflétant la traditionnelle campagne d'Autriche l'été demeurait une attirante et admirable station de ski pour l'hiver. L'officier révélait d'une stratégie bien à part. Cet ancien soldat de la première guerre mondiale, dont la croix-de-Fer justifiait sa bravoure, faisait preuve d'une intelligence qui lui value la vie sauve lors de cet ultime assaut.

L'officier scrutait du regard l'intérieur de la pièce. La fumée avait maintenant remplie quasiment tout l'espace présent et disponible de la pièce. Ce regard voguait sur la surface plane du mur se trouvant en face de l'Allemand. Une grande fenêtre de petite taille venait rompre la linéarité de la cloison. Ce soldat songeait. A quoi ? Nul ne saurait le dire. Mais l'action de penser fut bien présente. Cela se ressentait dans son regard.
Une mélodie sortait de nulle part.
Von Dertïner stoppa net son occupation. De son regard, un étrange sentiment était présent. Il paraissait alors, transportait. Son regard vivait par absence de vie, son corps décontracté et ces mains ouvertes fut tomber le journal sur le sol poussiéreux. La pièce à conviction resta ouverte toujours à la même page, toujours les mêmes mots ressortaient, toujours la même illustration ressortait. La mélodie devint audible.

Le matin du 16 Août était pluvieux. Le ciel s'était vêtu de longs et larges manteaux gris. Des poches, quelques ustensiles tombèrent. La pluie fine s'écrasa sur les soldats. Ceux-ci, levé les mains au ciel, le visage ouvert à la pluie. Des fines goûtes ruissellent sur le front, puis le nez, la joue et vint s’écrasé sur l’épaule des soldats. La pluie se fait rare de nos jours d’été. La pluie fit de nos vaillants soldats, des bêtes, des êtres inhumains déchirer par la barbarie humaine existante depuis que les guerres existent. Toujours plus grandes, toujours plus meurtrière, toujours plus sophistiqué, toujours plus violente, toujours plus haïssable.

La mélodie dégagea un étrange sentiment, l'officier éprouvait de la mélancolie. La prépondérance du ton mineur de ce prélude s'élevait dans la pièce. L'officier tétanisé n'osait plus se manifester. Les larmes lui vinrent et coulèrent le long de ces joues. Ses yeux rougirent par la tristesse, blanchirent par l'émotion. Le souvenir de tous ces visages, ternes, froids, inanimés,vidés de vie, bleuis lui faisait horreur. Le massacre qu'il avait ordonné lui causa une profonde tristesse. Ces horribles images lui revinrent souvent. La musique laissait couler ses larmes. Cette musique, il l'avait déjà entendu. L'endroit ? Le lieu ? La date ? Toutes ses questions restèrent sans réponses. La culpabilité raisonnée au fond de lui. Plus l'air fut présent, plus la tristesse le vidait de vie. Soudain, Il se leva.

L'officier Allemand, allongeant le bras et tendit une main fraternelle envers ses soldats à la fin de son discourt. Puis il se retourna. La masse se mit en route vers la cité. Le pas modéré des soldats sur le sol rocheux laissait entendre le rythme binaire, modéré des soldats, la pulsation est maintenue jusqu'à l'entré de la cité. Le capitaine fit une halte, action mimée par les soldats. Fusil au bras, le bataillon est prêt au combat. Puis l'officier cria un ordre en Allemand. Les soldats levèrent le cap dans la cité. Fusil au bras, armes de points à la ceinture, tout le monde s'élança dans cette cité. L'action fut commandée par l'ordre noir. Ordre selon lequel les supérieurs hiérarchiques ne veulent pas de prisonniers. Tout le monde sera exécuté durant cet assaut.

Le visage entre ses mains. La cigarette entre ses doigts. Le dos courbé. L'uniforme vieillit par la lumière reflètait une certaine rigoureusité du personnage. Pourtant, l'écoute prolongée de ce morceau reveillait sa curiosité intellectuelle et altéré son idéologie propre au mouvement politique de l'époque. Son ouïe fut flattée par la magnificence du morceau. Un chef d'oeuvre signé de la main de notre maître, Jean-Sébastien Bach. Le désir d'une connaissance musicale approfondie de ce génie allait à l'encontre de sa marche et de ses ambitions militaires. Mais selon lui, la musique est bien plus intéressante que les ordres funéraires ordonnés par les suppérieur. Sa pensé devint philosophique. Son âme devint grande. Sa docilité devint inéxistante. Sa nostalgie, son regret et son remord sont tels qu'il ne parvint pas à oublier ce jour là.

Les soldats rentrèrent dans les maisons, armes au point. Les occupants sont tous assassinés.





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Ce texte est écrit avec une musique de fond bien précise, et la lecture devrais se faire, si possible, avec la même musique. Grand admirateur de Bach que je suis, ce texte va de paire avec les oeuvres de Bach nommé Le clavier bien tempéré regroupé en 2 cahier. Les morceaux que j'ai choisi sont entre autres :
Prélude n°8 en Mi b mineur.
Fugue n°8 en Ré # mineur.
Prélude n°10 en Mi mineur.
Fugue n°10 en Mi mineur.
Prélude n°12 en Fa mineur.
Prélude n°16 en Sol mineur.

Fugue n°16 en Sol mineur.
Prélude n°18 en Sol # mineur.

mardi 13 mars 2007

la vie.

Nous n'avons pas le pouvoir de guider la vie, ni même de la choisir. Mais le devoir d'en profiter pour ceux qui l'ont quité trop vite...

Les enfants Leidfath sont nés en Août 1867 dans une famille bourgeoise Anglaise. Enfants de bonne famille, leur éducation soignée est faite de manière attentionnée. Les cours étaient dispensés à l'école protestante du village. La famille Leidfath était effectivement protestante. Elle avait un fils, Neils ainsi qu'une fille, Leisl. L'école ne se trouvait guère loins du lieu d'habitation de la famille. Les enfants avaient l'habitude de faire ce trajet là.
L'école dominait le haut du village. Le temple, juste en face, représentait la foi mais aussi, l'avenir. La famille Leidfath concidérait que seul les métiers d'Église étaient. Les adolescents avaient leur voie prétracer. Tout aurais du se passer pour le mieux. L'exemplaire éducation morale rendaient les enfants fort intéressant lors de débat sur de magnifique sujet. L'éducation religieuse était transcendant. Ils connaissaient leur serment par coeur, connaissaient leur messe et donnés de l'aide au curé. Or, tout bascula en ce sombre et pluvieux matin de Septembre 1883.
Ce fut en ce mardi 16 Septembre que le drame arriva. Alors que le soleil surplombait le versant nord de la coline comme à son habitude, les deux enfants se rendirent dans un lieu se voulant être une école. Malheureusement, le Dimanche 14 Septembre les Jésuites avaient donné l'ordre d'envahir les villages protestant de la campagne Londonniène et l'injonction d'asservir toutes personnes refusant le commandemment des suppérieurs. Les armées catholiques s'élancèrent sur les routes de Londres ce matin là. C'est à la hauteur d'Edenbridge que les troupes commencèrent leur invaison religieuse.



La suite arrivera prochainement. J'ai décidé de continuer ce texte dans l'optique de démontrer par la fiction ce pour quoi se sont batue les philosophes de Lumières. Le sujet concernant les guerres de religions, et la place de la religion... Si vous voulez me conseiller de faire apparaître une idée précise, dîtes le moi, je le ferais avec plaisir.

mardi 6 mars 2007

la réflexion personnelle est le seul moyen de voir par soi-même.

Je pense, et je ne suis pas seul, que la société actuelle est en déclin dans plusieurs domaines alors que l'avancé technologique est à son apogée. Je me suis dons posé plusieurs questions afin d'essayer de développé une problématique intéressant répondant à mes intérogation. je vous invite à réagir dans les commentaires pour me faire part de vos idées aussi.

Sujet : Quelles sont les évolutions technologiques sur la société actuelle et quelles en sont ses conséquences.

dimanche 4 mars 2007

L'Ecole.

Je me permet de rexprimer mes idées et de les expliquer quant au rôle de l'école que j'avais avancé maladroitement dans un article précédent.
Tout d'abord je tenais à m'excuser au près du professeur, qui n'était pas visé dans ce que j'avais dit. Tout d'abord quand je parlais de l'école j'entendais le système éducatif primé par le ministère de l'éducation nationale, à savoir former des différences toujours plus importante entre les élèves. Commencer les séparations dès le plus jeune âge avec l'idée des socles communs.
Les socles communs peuvent être défendu par une idée que je trouve fort juste. Les socles communs ont pour utilité d'exerce le sujet élève à passer des examens, si on puis concidérer cela comme tel. Nous pouvons voir cela comme un exercice ayant pour but d'anticipé (longtemps avant) les différentes épreuves que l'élève serait sujet de subir. Verdict : très bonne initiative qui causerai sûrement moins d'échec au bac (bien que les échecs se répercutent généralement avant les bacs...). Cependant certain (dont je fais parti) dirons que les socles communs favoriseront les différences entre les élèves. Imaginez les répercutions psychologiques que cela peut causer sur un élève passant une période difficile du à des évènements familliaux, ou privé. Mais le pire, c'est que ces socles communs seront, je le pense, à long terme des obligations pour rentrer dans le niveau supérieur (à savoir par exemple, le collège).

Lorsque je disais l'école contibu, je visais effectivement l'éducation nationale. Je suis concient que les origines sont multiples. Je pense que la télévision est l'un des pricipaux facteurs intervenant dans la phrase suivante : " Dis moi ce que tu consommes, je te dirai qui tu es ! ".

Le deuxième problème est le fait que l'éducation dispensé par les parents ne marquent pas suffisemment les limites du fait que l'enfant aura tendance à manquer de respect au professeur. Je me posais la question suivante Mr le professeur : Lorsque nos parents (comprendre le sens de la généalogie) étaient élèves au début du siècle, il y avait une éducation très strict (pour les personnes allant en cours...). Les professeurs étaient craints des élèves ... Actuellement c'est plutôt l'effet inverse qui se met en place, ce sont généralement les élèves qui sont criant des professeurs.
Que pensez vous, si aujourd'hui il y aurait un retour à "l'ancienne école" ?
Et par ailleurs comment faire pour que notre société retrouve la discipline qu'elle avait au début du siècle ?
Qu'elle est l'origine de cette société de consommation ?


Je vous invite, lecteurs de ce blog, à laisser votre opinion, je vous laisse réagir. Cette article est relié à Préface d'un article sur la compétition.



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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci