Tout d'abord je tenais à m'excuser au près du professeur, qui n'était pas visé dans ce que j'avais dit. Tout d'abord quand je parlais de l'école j'entendais le système éducatif primé par le ministère de l'éducation nationale, à savoir former des différences toujours plus importante entre les élèves. Commencer les séparations dès le plus jeune âge avec l'idée des socles communs.
Les socles communs peuvent être défendu par une idée que je trouve fort juste. Les socles communs ont pour utilité d'exerce le sujet élève à passer des examens, si on puis concidérer cela comme tel. Nous pouvons voir cela comme un exercice ayant pour but d'anticipé (longtemps avant) les différentes épreuves que l'élève serait sujet de subir. Verdict : très bonne initiative qui causerai sûrement moins d'échec au bac (bien que les échecs se répercutent généralement avant les bacs...). Cependant certain (dont je fais parti) dirons que les socles communs favoriseront les différences entre les élèves. Imaginez les répercutions psychologiques que cela peut causer sur un élève passant une période difficile du à des évènements familliaux, ou privé. Mais le pire, c'est que ces socles communs seront, je le pense, à long terme des obligations pour rentrer dans le niveau supérieur (à savoir par exemple, le collège).
Lorsque je disais l'école contibu, je visais effectivement l'éducation nationale. Je suis concient que les origines sont multiples. Je pense que la télévision est l'un des pricipaux facteurs intervenant dans la phrase suivante : " Dis moi ce que tu consommes, je te dirai qui tu es ! ".
Le deuxième problème est le fait que l'éducation dispensé par les parents ne marquent pas suffisemment les limites du fait que l'enfant aura tendance à manquer de respect au professeur. Je me posais la question suivante Mr le professeur : Lorsque nos parents (comprendre le sens de la généalogie) étaient élèves au début du siècle, il y avait une éducation très strict (pour les personnes allant en cours...). Les professeurs étaient craints des élèves ... Actuellement c'est plutôt l'effet inverse qui se met en place, ce sont généralement les élèves qui sont criant des professeurs.
Que pensez vous, si aujourd'hui il y aurait un retour à "l'ancienne école" ?
Et par ailleurs comment faire pour que notre société retrouve la discipline qu'elle avait au début du siècle ?
Qu'elle est l'origine de cette société de consommation ?
Je vous invite, lecteurs de ce blog, à laisser votre opinion, je vous laisse réagir. Cette article est relié à Préface d'un article sur la compétition.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
1 commentaire:
Cher Corentin,
En premier lieu, je vous rassure sur le fait que je n'ai absolument pas mal interprété vos propos sur la compétition et le rôle de l'école. Je les trouve, au contraire, frappés au coin du bon sens tout comme cet article d'ailleurs.
Effectivement la notion de socle commun pose un problème paradoxal. Conçu comme un moyen d'assurer à tous les enfants un savoir minimal identique (contribuant ainsi à l'égalité des chances), il occulte un fait essentiel et omniprésent dans l'école : la différence de capital culturel incorporé par chaque jeune selon son milieu social d'origine, y compris devant l'enseignement primaire. Si ce socle commun n'est pas doté d'un minimum de souplesse pédagogique dans sa mise en oeuvre par les professeurs des écoles, il y a bien peu de chances qu'il soit plus efficace que les méthodes d'antan. Acquérir des savoirs ne se fait pas au même rythme pour chaque enfant et tant que cette "évidence" ne sera pas intégré dans la définition du "comment enseigner", tout le travail sur le "quoi enseigner" n'aura que bien peu de pertinence. Les écarts sociaux perdureront ...
Quant aux problèmes d'autorité et de respect des professeurs, je suis bien placé pour savoir qu'une dérive est effectivement en cours. Même si j'ai la chance d'enseigner dans des conditions relativement idylliques (liées à une autorité familiale encore forte , département catholique oblige !), je sais bien qu'il n'en est pas ainsi sur tout le territoire et les agressions physiques ou verbales d'enseignants en disent long sur la dérive. Il y a effectivement un problème global d'autorité institutionnelle (les comportements scolaires de certains sont liés à une forme de démission familiale) mais aussi cet écart dans la capacité à acquérir des savoirs qui rend inéluctable la violence des jeunes plus "en échec" vis-à-vis de l'institution qu'ils rendent responsable de cet échec. Dans ce cadre, revenir aux règles d'éducation familiale d'antan serait sans doute plus confortable pour l'enseignant que je suis mais je ne suis pas certain que cela comblerait totalement les dysfonctionnements comportementaux. L'origine étant culturelle, la seule éducation morale risque de ne pas suffire.
Une réflexion toujours de qualité, jeune homme !
Cordialement
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