mercredi 10 janvier 2007

Triangle jaune, carré rouge et rond bleu.

Ce tableau composée de trois parties est couramment appelé triangle jaune, carré rouge et cercle bleu :

- La première regroupe l’élément majeur, à gauche, peint en jaune. Il est sur un fond or, telle une illumination pour le mettre en valeur. Cet élément est constitue un place importante, il est le contraste de la partie opposé de droite. La partie de gauche est principalement composée de formes géométriques, noires d’épaisseur variante. Elles sont principalement Fines. Elles formes une unité ancré dans le tableau, leur rôle majeur est de maintenir enfermé la partie jaune, elle la compresse. C’est pour cela que la partie jaune est très géométrique. Un rectangle. Toutes ces lignes forment un triangle, le triangle jaune, là où le jaune est principalement présent, uniquement présent.

- Le bleu, nettement visible à droite, a une forme décrivant un cercle. L’extérieur de ce cercle est comme limité par une grosse bande noire, épaisse. La limite éternelle du cercle est parfaite malgré quelques petits carrés parasites. La bande représente un serpent, venant épouser les formes de ce cercle là. Pour obtenir l’image du serpent qui mange sa queue.

- Le rouge, lui se trouve entre le triangle jaune et le cercle bleu. On trouve au total, trois entités de rouge. Elles sont toutes définies par un rectangle, particulier ou pas. Des damiers multi couleurs ou monochromes sont présents. Cela renforce le jeu de couleur, explicitement exprimé dans ce tableau. Les formes abruptes s’entremêlent avec les formes sinueuses.


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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
De plus, je vous demande de bien vouloir respecter mon travail. J'ai réalisé cette succinte et vague analyse tout seul. Je ne prends nul cours d'art, ni autres choses donc c'est tout à fait normal si je commets des erreurs... Cependant, pour tous conseils, adressez vous à moi, je suis toujours preneur.

mardi 9 janvier 2007

Vasily Vasilyevich Kandinsky.

Je brosserai de façon frivole sa vie. Une présentation rapide pour ceux qui ne connaisse pas, du moins encore, ce peintre. Kandinsky est un peintre Russe né à Moscou le 16 Décembre 1866 et mort le 13 Décembre 1944.

Sa vie fut mouvementée. En prime abord, il se lança dans une université de Moscou où lui étaient enseigné le droit et l’économie. Malgré de brillantes réussites dans ce milieu-là, il préféra aborder le domaine des arts. Il est alors âgé de 30 ans quand lui survient le goût de la peinture. Il se dirige vers la faculté des Beaux-Arts de Munich en 1896 pour y étudier. 1917 survient révolution russe. Le peintre attiré alors, décide d’y retourner. Seulement les théories officielles sur l’art furent changées. Se trouvant en conflit avec, il décide de retourner en Allemagne, on est alors en 1921. Il enseignera à Bauhaus de 1922 à 1933, date à laquelle l’école fut fermée par les nazis. Il émigra en France pour échapper au nazisme. Il mourut à Neuilly-sur-Seine le 13 Décembre 1944



Jaune Rouge Bleu
fut peint par kandinsky en 1925. Ce tableau est de grande taille. Ses dimentions sont de 2,02m par 1,28m. Je désirais mettre ce tableau de Kandinsky car c'est, selon moi l'un de ses tableaux cultes. Effectivement, il est le fondateur de l'art abstrait (Mary, si je me trompe je compte sur toi pour que tu rectifie !). Il fut peintre et théoricien de l'art.


Actuellement, nous pouvons voir ce tableau au cinquième étage à la section 11 du centre Pompidou, où il trouva sa place au courent de l'année 2002.


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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
(je risque de faire une petite analyse, éventuellement. Cela est en projet, mais pas encore en exécution.)

dimanche 7 janvier 2007

Les quatres saisons de Antonio Vivaldi.


Le troisième mouvement de l'été des quatres saisons de vivaldi, "Presto: Tempo impetusos d'estate" est l'un des morceaux les plus connu de cette oeuvre de Vivaldi. Cet oeuvre fait partie de mes morceaux favoris de Vivaldi.

Qu'il est magnifique.
Que c'est beau le classique.

Vous savez, lorsque l'on se retrouve assis, quelque part, les yeux fermés et l'esprit bersé, nous révons. Notre esprit se libert de toutes ses inquiétudes. La musique nous guide, Les notes solistes éveillent notre ouïe. Ces notes montant dans l'aigü au violon se contrastent brusquement par le réveil harmonique et brutal des basses. Les thèmes se répètent et se reprennent, se complètent et se renouvellent. Et moi, dans tout ça, je suis perdu. Nous ne savons plus où nous placer. Vous sentez que vous genez mais vous n'arrivez pas à trouvez. Les chefs d'oeuvres nous rendent petit à côté de l'immensité de l'oeuvre. Seuls les génies de la musique ne mourront pas. Au contraire ils ne peuvent être qu'intensément ramener à l'ordre du jour. Leurs musiques indémodable traverseront tous les courants, toutes les époques tout en restant sublîmissime.

Pour ceux qui n'ont pas eu la chance d'avoir la musique ici en question, voilà un lien où vous pouvez avoir un apperçu de la musique.
Malheureusement, je n'ai trouver ce morceau entier seulement en format midi, ce qui rend la musique robotique sans l'oeuvre d'interprétation d'une symphonie. Mais il s'agit dans tout les cas du morceau de Vivaldi issus des quatres saisons.


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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci

jeudi 4 janvier 2007

Écriture d'invention du sujet Es-S.

Mon très cher Alphonse Daudet,

Bonjour.

Je vous écris cette lettre de ma plume, illuminée par ma bougie et le clair de lune. Je suis encore engourdi par la lecture de votre texte. Que votre style me charme mon cher Alphonse.
Vous savez, cela ne m’étais pas arrivé depuis longtemps, mais là, je fus transporté d’émotion. Depuis la mort de mon mari, je n’ai guère plus de raison de vivre qu’un malade ayant une maladie incurable. Seulement, depuis la réception de votre lettre ainsi que sa lecture, ma vie tout entière fut secouée. C’est pour cette raison-là que je suis encore engourdi. Je lus et relus votre texte. Je me suis mise à mon écritoire pour vous faire part de mes sentiments. Mes yeux furent emplis de chaudes et lourdes larmes de tristesse après la lecture de votre lettre. Un frisson de tristesse me gela instantanément. Je fus paralysé un moment comme pris d’un vertige. Je ne me contrôlais plus, la tristesse régnait alors dans mon âme. Ce fut à ce moment-là précisément, que je réalisai la chance que j’avais d’être encore en vie. Mon triste défunt mari n’eut pas la même chance que moi.
Grâce à vous, Alphonse, J’ai réfléchi. Réfléchi à la valeur de notre être. Que notre vie est courte. À quoi bon vouloir incessamment se résoudre de faire plaisir à autrui. Lorsque nous demeurons lasse et sans retour. Vidé de tous plaisir et de toutes joies. Nul dans ce monde, ne peut jouir de sa clémence. Nul n’a le devoir de faire plaisir dans le dessein de satisfaire son entourage. Il peut le faire pour obtenir son euphorie certes, mais voyez par vous-même, le personnage que vous avez peint, pâti de sa bonté ! Mon cher Alphonse, répondez-moi, je vous prie, sincèrement à cette question. Est-il un devoir de servir autrui au péril de notre vie et de notre santé ?
En cette heure tardive, le clair de lune venant chatouiller ma plume et le sommeil bercé mon esprit, je vais devoir vous quitter. Ce fus un plaisir de trouver, ce matin cette histoire. J’en fus touché au plus profond de mon être.

Bonsoir.




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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
Par ailleurs, j'ai commencé la rédaction du sujet d'invention juste là pour m'entraîner et m'occuper un peu, il n'est en aucun cas fini (pour le moment) !

mercredi 3 janvier 2007

Ailleurs, c'est l'amertume de la vie.



Ailleurs, l’amertume de la vie…



« Ailleurs ! »


La décision prise durant l’entretient se résumait à ce seul mot, « Ailleurs ! ». Cette affirmation traumatise par sa cruauté. Son est ton froid et indifférent. Lui, n’en revenait toujours pas ! Lui, pourtant si aimé, si apprécié, si envié … l’ intonation de ces termes doit être de plus en plus forte, en crescendo. Jamais cela, du moins cette réponse négative accentuation de ce mot aurait dû arriver.

Le café coule dans la tasse. La chaîne hi-fi est allumée.
Posé. Non pas posé, marquer une courte pose ce n’est pas le cas, marquer une courte pose avachie. Avachie sur la canapé qui borde l’angle du salon.
Attend.
Du monde se trouve dans la montée d’escalier, sûrement devant l’ascenseur. Cela, fait du bruit.
Le café à fini son ascension dans la tasse. La machine, elle se repose. Tout comme lui.
Les voisins doivent s’ennuyer. La télévision vient de s’allumer. Perçoit un inaudible son, ce qui n’est pas très agréable.
Attend encore. marquer une courte pose Quoi ? Nul ne saurait le dire, marquer une courte pose mais attend encore.

Tiens ! La nuit tombe. Le salon devient sombre. marquer une courte pose Un temps. marquer une courte pose Se lève, marquer une courte pose, un temps, allume le plafonnier et se rassoie.

Le café va être froid.

Se réveille. La sonnerie du téléphone retentie. marquer une courte pose Ne répond pas. N’a pas envi.
La sonnerie continue. Le rêve trompe ! Ce n’était pas le téléphone. marquer une courte pose Mais l’hôte, devant la porte qui s’impatientait.
Se lève et l’ouvre. marquer une courte pose La porte, hein ?! Pas l’hôte. Cette phrase doit faire ressortir de l’humour froid. Dite sur un ton se coupant de la monotonie du reste du texte, un ton bref, puis retombe dans la monotonie.
Le discours. Oui la discussion. Et ben vous savez quoi ? Marquer une courte pause Elle va porter sur l’entretient, et cela n’en fait aucun doute ! Mais aucune envi de parler surgie. marquer une pose plus longue que les précédentes. Juste celle de tuer.

Laisser les orateurs sur cette fin, aussi neutre possible. Les orateurs doivent se demander ce qui va se passer après. Leur travail sera de faire une réflexion sur le sujet. Rien ne dois être dévoilé. Tout comme le ressenti, les sentiments qui ne sont pas transmit directement. L’orateur est libre…


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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci

La conséquence de la non possession.


Se plaindre incessamment de ce que nous ne possédons pas accroît les chances de tomber dans une névrose incontrôlable. L’Être humain que nous sommes agit devant son seul acquis. Malgré les recommandations que nous pouvons lui faire, lui seul est apte à décider… Imaginons une scène où l’on défends à un individu de faire quelque chose, celui ci va être tenté de le faire, de violer les interdits. Essayer, vous verrez. On ne peut donc pas obtenir d’un individu tout ce que l’on désire (quant à son comportement). Seul certain types d’individus sont soumis à d’autre. Le fait de se plaindre par rapport à la non-possession ne va qu’augmenter ce sentiment de frustration ou de dépendance. Cela, et cela seul explique le fait que lorsqu’une personne échoue, la plus part du temps, celle-ci devient dépressive et agressive envers sa propre personne (auto mutilation) ou envers les autres. Que ce soit dans de cours instant ou de longue période de la vie. Ces névroses peuvent être grave et entraîner la mort de cette personne ou de son « entourage ». Lorsque je parle de possession, il s’agit aussi bien du sens symbolique que premier.

Premier exemple :
Je désire faire passer l’idée de l’élève voulant absolument avoir de bonne note (possession dans le sens symbolique), si celui-ci échoue incessamment à tout ces examens, il va avoir le sentiment d’être « un raté ». Or ce sentiment est totalement subjectif vu que c’est exclusivement l’élève qui à défini son objectif : satisfaire ces parents ou alors dépasser le premier de la classe.

Deuxième exemple :
Quant à la forme de dépendance aigu, à la drogue en particulier, cela pose un autre problème. Effectivement, l’individu en question ne peut pas (ou plus) se passer de sa drogue. Par conséquent elle va chercher à en avoir régulièrement. Lorsque celle ci (la drogue) est épuisée, l’individu va partir à sa recherche. Seulement, dans cet état de dépendance, cette personne risque de mettre sa propre vie en danger mais aussi celle des autres. Cela est du à l’état second de celle-ci, elle ne se contrôle simplement plus, d’où le terme de névrose incontrôlable. Elle va donc user de tout ses moyens pour obtenir ce qu’elle désire (donc ce qu’elle ne possède pas, sa non possession).

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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
L'inspiration et les sources me manquent pour pouvoir mettre une illustration. Si vous avez des propositions à me faire, n'hésitez pas.

mardi 2 janvier 2007

Vitalij Kuprij.


Je vais, vous donner la possibilité de découvrir un excellent interprète de musique classique. Il s'agit de Vitalij Kuprij, un pianiste talentueux. Voici son site.
Je vous conseille s'y aller, même si vous n'aimez pas vraiment le classique, cela en vaut le détour !! Je ferai sûrement une présentation plus complète de lui et de la musique plus tard si je trouve de quoi rédiger une présentation digne de son nom.

Préface nommée : réflexion sur les romans.



Un auteur inconnu, une œuvre qui sera vraisemblablement jamais publié, au fond de moi rien ne m’incite à lire son ouvrage. C’est ce qui fait là, la différence entre un homme cultivé et un homme ordinaire, ayant une mentalité dirigée par la télévision. C’est uniquement ma curiosité qui me pousse à lire ce manuscrit, encore tout frais et fondant, sortant d’une main novice du métier et non initié à l’art de l’écriture. Cette fameuse différence est, que l’homme instruit, intentionné ne va pas lire ce livre pour une quelconque histoire, mais va lire l’implicite, l’élément phare de ce texte et de tout les autres aussi, un phrase simple mais d’une importance majeur pour comprendre les écrivains. Qu’est-ce qui pousse un auteur à écrire, tout comme un musicien à interpréter voir composer divers morceaux, certain gai imposant la joie, d’autres mélancoliques, toujours joués ou lu de façon emphatique. L’écrivain ne va pas s’user, se raconter pour l’unique plaisir : superficiel aux yeux de certain, essentiel aux yeux d’autre, de raconter une simple histoire. Souvent, un traumatisme fait naître alors une envie irrésistible de dire, ou plutôt de se dire, de se mettre en avant. Reprocher ou justement conseiller. De diriger se monde aux couleurs de l’égoïsme, un monde rivé sur la compétition. Des écrivains, préfèrent s’évader dans leur récit, une évasion mutuelle entre l'auteur et le lecteur. Pour ma part, je me contenterai du récit brute, sans modelage ni euphémisme. Je n’ai pas besoin d’une histoire triste, où les lecteurs vont pleurer sur l’histoire et non sur la réalité. Je n’ai pas non plus besoin et encore moins envi de métamorphoser la réalité en fiction, une réalité manipulée par les médias, qui eux-même, ont banaliser la violence jusqu’au point de la monter au 20h de TF1 ou d'autres chaînes. Revenons tout de même à la différence entre ces deux comportements, regardons ensemble les deux cas de figures. Ceux qui lisent pour l’histoire, au fond ne lisent pas mais feintent de lire… Analysons ensemble les histoires, regardons, de tout temps les histoires ont soutenu un message implicite car compréhensible de tous, notamment au XVIII ème siècle avec les auteurs de l’Encyclopédie, par exemple Voltaire dans l’article nommé guerre va émettre sont idéologie sur la chose de manière sous jacente, bien que à l’époque la littérature était réservé à l’élite (encore la notion de l’élitisme et de la compétition que l’on retrouve encore actuellement). Il y avait tout de mêmes ces messages, qui étaient une forme de discourt. Alors pourquoi certaines personnes demeurent immobiles, se bandant les yeux ? Les textes, souvent adroits et précis, dégageant les ultimes sentiments, la compréhension et la compassion. Sans lecture, comment peut-on faire passer nos doctrines nos points de vue et nos appelles aux secours ??

Cernille IVELIN



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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci