mardi 2 janvier 2007

Préface nommée : réflexion sur les romans.



Un auteur inconnu, une œuvre qui sera vraisemblablement jamais publié, au fond de moi rien ne m’incite à lire son ouvrage. C’est ce qui fait là, la différence entre un homme cultivé et un homme ordinaire, ayant une mentalité dirigée par la télévision. C’est uniquement ma curiosité qui me pousse à lire ce manuscrit, encore tout frais et fondant, sortant d’une main novice du métier et non initié à l’art de l’écriture. Cette fameuse différence est, que l’homme instruit, intentionné ne va pas lire ce livre pour une quelconque histoire, mais va lire l’implicite, l’élément phare de ce texte et de tout les autres aussi, un phrase simple mais d’une importance majeur pour comprendre les écrivains. Qu’est-ce qui pousse un auteur à écrire, tout comme un musicien à interpréter voir composer divers morceaux, certain gai imposant la joie, d’autres mélancoliques, toujours joués ou lu de façon emphatique. L’écrivain ne va pas s’user, se raconter pour l’unique plaisir : superficiel aux yeux de certain, essentiel aux yeux d’autre, de raconter une simple histoire. Souvent, un traumatisme fait naître alors une envie irrésistible de dire, ou plutôt de se dire, de se mettre en avant. Reprocher ou justement conseiller. De diriger se monde aux couleurs de l’égoïsme, un monde rivé sur la compétition. Des écrivains, préfèrent s’évader dans leur récit, une évasion mutuelle entre l'auteur et le lecteur. Pour ma part, je me contenterai du récit brute, sans modelage ni euphémisme. Je n’ai pas besoin d’une histoire triste, où les lecteurs vont pleurer sur l’histoire et non sur la réalité. Je n’ai pas non plus besoin et encore moins envi de métamorphoser la réalité en fiction, une réalité manipulée par les médias, qui eux-même, ont banaliser la violence jusqu’au point de la monter au 20h de TF1 ou d'autres chaînes. Revenons tout de même à la différence entre ces deux comportements, regardons ensemble les deux cas de figures. Ceux qui lisent pour l’histoire, au fond ne lisent pas mais feintent de lire… Analysons ensemble les histoires, regardons, de tout temps les histoires ont soutenu un message implicite car compréhensible de tous, notamment au XVIII ème siècle avec les auteurs de l’Encyclopédie, par exemple Voltaire dans l’article nommé guerre va émettre sont idéologie sur la chose de manière sous jacente, bien que à l’époque la littérature était réservé à l’élite (encore la notion de l’élitisme et de la compétition que l’on retrouve encore actuellement). Il y avait tout de mêmes ces messages, qui étaient une forme de discourt. Alors pourquoi certaines personnes demeurent immobiles, se bandant les yeux ? Les textes, souvent adroits et précis, dégageant les ultimes sentiments, la compréhension et la compassion. Sans lecture, comment peut-on faire passer nos doctrines nos points de vue et nos appelles aux secours ??

Cernille IVELIN



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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci



2 commentaires:

Mary a dit…

On devrait tous lire et pour les personnes qui ne le font pas ou pas souvent je pense qu'elles ont vraiment tort.
La lécture occupe une place très importante dans notre vie ça nous permets de se cultiver de s'instruire de s'enrichir d'approfondir nos connaissances... c'est ce qui va nous permettre de bien avancer de se développer

Anonyme a dit…

Well written article.