mercredi 27 juin 2007
samedi 21 avril 2007
vendredi 20 avril 2007
I think differently !
Le présent texte n'est pas une suite linéraire du blog. En effet il ne sera pas impersonnel comme à mon grande habitude. ( Enfin, je l'espère ! )
Cette phrase me semble importante. Elle résume tout.
"Un Moi ne peut vivre que si un Toi existe."
Cette phrase me semble importante. Elle résume tout.
Vous savez, par moment la lassitude vous prend, vous tourmente. Non ! Elle ne vous torture pas. Elle est là à bon essient, pour montrer quelque chose de précis. Ces derniers temps, ces derniers jours toute la lucidité de la vérité a désillusionné mon rêve. Une réalité non pas cruelle car elle était suspectée. Une phrase dit : "Le bonheur des uns finit là où commence celui des autres", je ne vais pas faire une réflexion sur le bonheur, cela n'est pas l'objet. Je vais juste transcrire cette phrase sur mes rêves, ma réalité. "Un rêve finit là où commence le suivant". C'est juste la vie, pleine de péripétie pour ma part. (cf. réflexion sur l'avenir)
Pour le moment je ne compte ni faire un blame de la première*, ni un éloge de la deuxième*. J'ai juste envi de dire à certain(e)s*, qui ne doivent pas souvent fouller pas dans ce site, un grand merci. Les remerciers pour leur précisieuse aide, le soutien ou juste la présence. D'autre*, même si le contact fut conflictuel et chaotique, ancré dans le temps à différent instant de ma vie, ceux-là, je les remercies aussi. Je remercie ceux avec qui je ne m'entends pas qui ont fait évoluer mon esprits critiques. ( Par ailleurs la faculté à trouver les mots qui blessent, qui ne seront jamais assez fort pour résumer mon passé, mais passons. ) Je tenez à vous remercier, vous tous. je me sens très bien. Je travaille bien, j'aime et je prends plaisir à travailler. J'exerce autant que possible ma capacité intellectuelle à réfléchir sur différentes notions. Cependant certaine chose, aussi éphémères soient-elles, me manquent particulièrement ( à mon plus grand désarois malheureusement ! )
Pour conclure cette article, je m'excuse de mon style quelque peu "brute", "sauvage", "éccorchant" mais si "réel" et si "vrai". J'écris comme cela me vient. Je vous présente mes humbles excuses quant à la fréquence trop élevé d'imperfections orthographiques présentes dans l'ensemble de mes textes.
(* : je ne citerai aucun noms car ce n'est pas le but. Mais tout un chacun à une part de lui dans ce texte. Car c'est tout un ensemble, tout un ensemble d'exprériences de personnes qui nous entourent qui crée notre conscience, c'est l'existensialisme. En d'autres termes, l'ensemble des personnes qui nous entoure représente une dimension intérieur de notre conscience. Cela est une doctrine de notre cher Sartre.)
Pour le moment je ne compte ni faire un blame de la première*, ni un éloge de la deuxième*. J'ai juste envi de dire à certain(e)s*, qui ne doivent pas souvent fouller pas dans ce site, un grand merci. Les remerciers pour leur précisieuse aide, le soutien ou juste la présence. D'autre*, même si le contact fut conflictuel et chaotique, ancré dans le temps à différent instant de ma vie, ceux-là, je les remercies aussi. Je remercie ceux avec qui je ne m'entends pas qui ont fait évoluer mon esprits critiques. ( Par ailleurs la faculté à trouver les mots qui blessent, qui ne seront jamais assez fort pour résumer mon passé, mais passons. ) Je tenez à vous remercier, vous tous. je me sens très bien. Je travaille bien, j'aime et je prends plaisir à travailler. J'exerce autant que possible ma capacité intellectuelle à réfléchir sur différentes notions. Cependant certaine chose, aussi éphémères soient-elles, me manquent particulièrement ( à mon plus grand désarois malheureusement ! )
Pour conclure cette article, je m'excuse de mon style quelque peu "brute", "sauvage", "éccorchant" mais si "réel" et si "vrai". J'écris comme cela me vient. Je vous présente mes humbles excuses quant à la fréquence trop élevé d'imperfections orthographiques présentes dans l'ensemble de mes textes.
(* : je ne citerai aucun noms car ce n'est pas le but. Mais tout un chacun à une part de lui dans ce texte. Car c'est tout un ensemble, tout un ensemble d'exprériences de personnes qui nous entourent qui crée notre conscience, c'est l'existensialisme. En d'autres termes, l'ensemble des personnes qui nous entoure représente une dimension intérieur de notre conscience. Cela est une doctrine de notre cher Sartre.)
mercredi 18 avril 2007
Le passé, le présent, le futur.
Beaucoup de dépression débute suite à une nostalgie trop "présente". Le regard poussé sur le passé ne fera qu'aggraver ce phénomène.
Le passé ne doit pas être oublié, mais il doit être analysé. Regarder les erreurs faites pour ne pas faire les mêmes par l'avenir. Un passé est structuré, précis et ne pourra être modifié. Vouloir le changer modifiera tout, même votre vie sauve, ou celle de vos proches parents ou amis.
Le futur est le refflet de votre idéal, et l'illusion de votre vie futur. Il ne faut donc pas se focaliser sur le futur afin de ne pas faire les mêmes erreurs que dans le passé. Par ailleurs, il est votre désir. Si il est inéxistant ( ou triste, etc... ) cela voudrait dire que vous n'avez aucun désir de futur, d'amélioration, de vie. Selon moi ( et surement d'autre, je ne pense pas être le seul ), cela ne représente pas le néant d'ambition, mais une ambition dissimulé sous un mal-être dont la cause peut être diverse. Il se peut que les couleurs du monde actuel soient si différentes de notre monde idéal* que nous n'arrivons pas à nous faire avenir dans un tel monde. Il peut être du par ailleurs à un renfermement du à un traumastisme grave tel qu'un décès, une relation conflictuelle. ( etc... )
le présent doit être vécu comme il se doit de le vivre sainement. Ne pas se lamenter sur le passé et ne pas se focaliser sur le futur. Cependant, pour pas de mal entendu nous devons voir le futur, il nous aiguille mais ne pas se focaliser complètement dessus car les echecs seront critiques.
Un idéal : Fait qui n'existe que dans la pensé et ne peut être préçu par les sens. C'est un modèle de la perfection absolue. ( donc irréalisable )
Le passé ne doit pas être oublié, mais il doit être analysé. Regarder les erreurs faites pour ne pas faire les mêmes par l'avenir. Un passé est structuré, précis et ne pourra être modifié. Vouloir le changer modifiera tout, même votre vie sauve, ou celle de vos proches parents ou amis.
Le futur est le refflet de votre idéal, et l'illusion de votre vie futur. Il ne faut donc pas se focaliser sur le futur afin de ne pas faire les mêmes erreurs que dans le passé. Par ailleurs, il est votre désir. Si il est inéxistant ( ou triste, etc... ) cela voudrait dire que vous n'avez aucun désir de futur, d'amélioration, de vie. Selon moi ( et surement d'autre, je ne pense pas être le seul ), cela ne représente pas le néant d'ambition, mais une ambition dissimulé sous un mal-être dont la cause peut être diverse. Il se peut que les couleurs du monde actuel soient si différentes de notre monde idéal* que nous n'arrivons pas à nous faire avenir dans un tel monde. Il peut être du par ailleurs à un renfermement du à un traumastisme grave tel qu'un décès, une relation conflictuelle. ( etc... )
le présent doit être vécu comme il se doit de le vivre sainement. Ne pas se lamenter sur le passé et ne pas se focaliser sur le futur. Cependant, pour pas de mal entendu nous devons voir le futur, il nous aiguille mais ne pas se focaliser complètement dessus car les echecs seront critiques.
Un idéal : Fait qui n'existe que dans la pensé et ne peut être préçu par les sens. C'est un modèle de la perfection absolue. ( donc irréalisable )
L'avenir.
Une phrase résumant l'avenir selon certain : " Votre avenir se résume à la répétition de votre présent."
L'avenir est qualifié ici comme un perpétuel recommancement (intéressant ou non) de l'instent présent que nous vivons. Notre long et monotone train de vie ne subit pratiquement aucune altération dans sa continuité. Il est fidèle à son modèle mère.
Cependant, nous ne pourrons nier que des péripéties interviennent par moment tel un rivage ensoleillé qui subitement s'assombrit dù à un passage de nuage devant le soleil. La direction des nuages peut être prévu sur le fait présent grace aux perturbations et courant d'air présent au niveau du nuage par diverse mesure. Mais il n'en reste pas moins que la prévision à long terme déterminant si un nuage se trouvera devant le soleil dans une heure voir un jour sera quasimment impossible du à la multitude de facteurs intervenant. La place du nuage sera entièrement aléatoire et cette théorie s'appelle L'effet Choas .
L'exemple du nuage transcrit sur la vie d'un être humain concerve la même théorie, celle du chaos. Tout un ensemble de fait ne pouvant être prédit, voir prévu avec exactitude confirme effectivement cela. Par analogie, lorsque nous voulons modifier (en théorie) le passé, cela perturbe l'instent présent, soit le futur du moment passé. Le présent sera invariablement différent car si on reprend l'exemple du nuage, un courent d'air l'a enmené devant le soleil. Si l'on remonte dans le passé, avant que le nuage passe devant le soleil et que l'on oriente différemment le courent d'air, le nuage ne passera pas devant le soleil. Le rivage ensoleillé ne sera donc pas assombrit. Cela est parfaitement illustré dans le film L'effet papillon .
Pour en venir sur la phrase : " Votre avenir se résume à la répétition de votre présent." elle se veut en théorie incorrecte. Cependant si on prend l'exemple du travail à la chaîne développé par Taylor, la répétition programmé d'un fait peut enmener une dénaturisation au sein de l'équilibre psychique. Cela est montrer dans un film de Charlie Chaplin Les Temps Modernes .
Vous pensez surement que je me contredit en disant que l'avenir est un perpétuel recommencement de l'instent présent mais par ailleurs qu'on ne peux pas le prévenir. En effet on peut seulement faire le constat en fin de vie ou d'une période précise le fil de sa vie. Et là nous nous apercevrons que notre vie n'a été que répétition du premier jour, le plus important*. Pour me justifier je vais prendre deux exemple que j'ai trouvé un endroit, étant réels, je les réutilises. Nous voyons deux genres de personnes :
L'avenir est qualifié ici comme un perpétuel recommancement (intéressant ou non) de l'instent présent que nous vivons. Notre long et monotone train de vie ne subit pratiquement aucune altération dans sa continuité. Il est fidèle à son modèle mère.
Cependant, nous ne pourrons nier que des péripéties interviennent par moment tel un rivage ensoleillé qui subitement s'assombrit dù à un passage de nuage devant le soleil. La direction des nuages peut être prévu sur le fait présent grace aux perturbations et courant d'air présent au niveau du nuage par diverse mesure. Mais il n'en reste pas moins que la prévision à long terme déterminant si un nuage se trouvera devant le soleil dans une heure voir un jour sera quasimment impossible du à la multitude de facteurs intervenant. La place du nuage sera entièrement aléatoire et cette théorie s'appelle L'effet Choas .
L'exemple du nuage transcrit sur la vie d'un être humain concerve la même théorie, celle du chaos. Tout un ensemble de fait ne pouvant être prédit, voir prévu avec exactitude confirme effectivement cela. Par analogie, lorsque nous voulons modifier (en théorie) le passé, cela perturbe l'instent présent, soit le futur du moment passé. Le présent sera invariablement différent car si on reprend l'exemple du nuage, un courent d'air l'a enmené devant le soleil. Si l'on remonte dans le passé, avant que le nuage passe devant le soleil et que l'on oriente différemment le courent d'air, le nuage ne passera pas devant le soleil. Le rivage ensoleillé ne sera donc pas assombrit. Cela est parfaitement illustré dans le film L'effet papillon .
Pour en venir sur la phrase : " Votre avenir se résume à la répétition de votre présent." elle se veut en théorie incorrecte. Cependant si on prend l'exemple du travail à la chaîne développé par Taylor, la répétition programmé d'un fait peut enmener une dénaturisation au sein de l'équilibre psychique. Cela est montrer dans un film de Charlie Chaplin Les Temps Modernes .
Vous pensez surement que je me contredit en disant que l'avenir est un perpétuel recommencement de l'instent présent mais par ailleurs qu'on ne peux pas le prévenir. En effet on peut seulement faire le constat en fin de vie ou d'une période précise le fil de sa vie. Et là nous nous apercevrons que notre vie n'a été que répétition du premier jour, le plus important*. Pour me justifier je vais prendre deux exemple que j'ai trouvé un endroit, étant réels, je les réutilises. Nous voyons deux genres de personnes :
- Pour les personnes n'ayant pas de travail.
Leur cotidiens se résume à la fréquentation de l'ANPE et d'agence de travaux temporaires. Connaitras durant longtemps les mêmes activités fautes de moyens. (je ne décris pas plus, je pense que vous savez comment cela est.)
- Pour les personnes travaillant dans un bureau.
Leur cotidiens se résume au levé rythmé par les horraires de travail, les embouteillages pour se rendre au travail, les dossiers à traiter au travail. (pour les mêmes raisons que ci-dessus, je m'arrête.)
Leur cotidiens se résume à la fréquentation de l'ANPE et d'agence de travaux temporaires. Connaitras durant longtemps les mêmes activités fautes de moyens. (je ne décris pas plus, je pense que vous savez comment cela est.)
- Pour les personnes travaillant dans un bureau.
Leur cotidiens se résume au levé rythmé par les horraires de travail, les embouteillages pour se rendre au travail, les dossiers à traiter au travail. (pour les mêmes raisons que ci-dessus, je m'arrête.)
Nous pouvons donc en conclure que l'avenir est le perpétuel recommencement de l'instent présent. Des contres exemples sont forcément présent. Des personnes sont très mobiles tels les commerciales, les artistes etc... Voilà une première vu sur l'avenir.
samedi 7 avril 2007
Je suis actuellement en train de créer un site web. Vous pouvez avoir un apperçut de mon site web lorsqu'il sera fini. Pour le moment je le fait avec l'aide d'un logiciel mac iWeb et du support mac. En voici l'adresse : Terrae Nubilus.
vendredi 30 mars 2007
L'indélicate musique
La sombre lueur rentra dans la pièce où se tenait l'officier Allemand, le journal à la main, la cigarette aux lèvres. Cet homme, dont la fumée était sombrement illuminée par la lueur, regardait fixement ce journal. Ses doigts ne tremblaient pas, pourtant une énergie se ressentait. Le regard parcourait toujours la même page, commençait toujours à la même lettrine pour toujours se bloquer sur le même mot. Ces pages jaunies par le temps, noircies par la bougie, blanchies par l'écriture demeuraient un mystère pour cet Allemand.
Le 25 Juillet 1942, l'officier Allemand, Von Dertïner fut chargé de mission. Il dirigerait l'assaut de la fameuse ville d'Autriche-Hongrie, kitzbühel. Von Dertïner ordonna son assaut pour le 16 Août 1942. Cette petite contrée reflétant la traditionnelle campagne d'Autriche l'été demeurait une attirante et admirable station de ski pour l'hiver. L'officier révélait d'une stratégie bien à part. Cet ancien soldat de la première guerre mondiale, dont la croix-de-Fer justifiait sa bravoure, faisait preuve d'une intelligence qui lui value la vie sauve lors de cet ultime assaut.
L'officier scrutait du regard l'intérieur de la pièce. La fumée avait maintenant remplie quasiment tout l'espace présent et disponible de la pièce. Ce regard voguait sur la surface plane du mur se trouvant en face de l'Allemand. Une grande fenêtre de petite taille venait rompre la linéarité de la cloison. Ce soldat songeait. A quoi ? Nul ne saurait le dire. Mais l'action de penser fut bien présente. Cela se ressentait dans son regard.
Une mélodie sortait de nulle part.
Von Dertïner stoppa net son occupation. De son regard, un étrange sentiment était présent. Il paraissait alors, transportait. Son regard vivait par absence de vie, son corps décontracté et ces mains ouvertes fut tomber le journal sur le sol poussiéreux. La pièce à conviction resta ouverte toujours à la même page, toujours les mêmes mots ressortaient, toujours la même illustration ressortait. La mélodie devint audible.
Le matin du 16 Août était pluvieux. Le ciel s'était vêtu de longs et larges manteaux gris. Des poches, quelques ustensiles tombèrent. La pluie fine s'écrasa sur les soldats. Ceux-ci, levé les mains au ciel, le visage ouvert à la pluie. Des fines goûtes ruissellent sur le front, puis le nez, la joue et vint s’écrasé sur l’épaule des soldats. La pluie se fait rare de nos jours d’été. La pluie fit de nos vaillants soldats, des bêtes, des êtres inhumains déchirer par la barbarie humaine existante depuis que les guerres existent. Toujours plus grandes, toujours plus meurtrière, toujours plus sophistiqué, toujours plus violente, toujours plus haïssable.
La mélodie dégagea un étrange sentiment, l'officier éprouvait de la mélancolie. La prépondérance du ton mineur de ce prélude s'élevait dans la pièce. L'officier tétanisé n'osait plus se manifester. Les larmes lui vinrent et coulèrent le long de ces joues. Ses yeux rougirent par la tristesse, blanchirent par l'émotion. Le souvenir de tous ces visages, ternes, froids, inanimés,vidés de vie, bleuis lui faisait horreur. Le massacre qu'il avait ordonné lui causa une profonde tristesse. Ces horribles images lui revinrent souvent. La musique laissait couler ses larmes. Cette musique, il l'avait déjà entendu. L'endroit ? Le lieu ? La date ? Toutes ses questions restèrent sans réponses. La culpabilité raisonnée au fond de lui. Plus l'air fut présent, plus la tristesse le vidait de vie. Soudain, Il se leva.
L'officier Allemand, allongeant le bras et tendit une main fraternelle envers ses soldats à la fin de son discourt. Puis il se retourna. La masse se mit en route vers la cité. Le pas modéré des soldats sur le sol rocheux laissait entendre le rythme binaire, modéré des soldats, la pulsation est maintenue jusqu'à l'entré de la cité. Le capitaine fit une halte, action mimée par les soldats. Fusil au bras, le bataillon est prêt au combat. Puis l'officier cria un ordre en Allemand. Les soldats levèrent le cap dans la cité. Fusil au bras, armes de points à la ceinture, tout le monde s'élança dans cette cité. L'action fut commandée par l'ordre noir. Ordre selon lequel les supérieurs hiérarchiques ne veulent pas de prisonniers. Tout le monde sera exécuté durant cet assaut.
Le visage entre ses mains. La cigarette entre ses doigts. Le dos courbé. L'uniforme vieillit par la lumière reflètait une certaine rigoureusité du personnage. Pourtant, l'écoute prolongée de ce morceau reveillait sa curiosité intellectuelle et altéré son idéologie propre au mouvement politique de l'époque. Son ouïe fut flattée par la magnificence du morceau. Un chef d'oeuvre signé de la main de notre maître, Jean-Sébastien Bach. Le désir d'une connaissance musicale approfondie de ce génie allait à l'encontre de sa marche et de ses ambitions militaires. Mais selon lui, la musique est bien plus intéressante que les ordres funéraires ordonnés par les suppérieur. Sa pensé devint philosophique. Son âme devint grande. Sa docilité devint inéxistante. Sa nostalgie, son regret et son remord sont tels qu'il ne parvint pas à oublier ce jour là.
Les soldats rentrèrent dans les maisons, armes au point. Les occupants sont tous assassinés.
Ce texte est écrit avec une musique de fond bien précise, et la lecture devrais se faire, si possible, avec la même musique. Grand admirateur de Bach que je suis, ce texte va de paire avec les oeuvres de Bach nommé Le clavier bien tempéré regroupé en 2 cahier. Les morceaux que j'ai choisi sont entre autres :
Le 25 Juillet 1942, l'officier Allemand, Von Dertïner fut chargé de mission. Il dirigerait l'assaut de la fameuse ville d'Autriche-Hongrie, kitzbühel. Von Dertïner ordonna son assaut pour le 16 Août 1942. Cette petite contrée reflétant la traditionnelle campagne d'Autriche l'été demeurait une attirante et admirable station de ski pour l'hiver. L'officier révélait d'une stratégie bien à part. Cet ancien soldat de la première guerre mondiale, dont la croix-de-Fer justifiait sa bravoure, faisait preuve d'une intelligence qui lui value la vie sauve lors de cet ultime assaut.
L'officier scrutait du regard l'intérieur de la pièce. La fumée avait maintenant remplie quasiment tout l'espace présent et disponible de la pièce. Ce regard voguait sur la surface plane du mur se trouvant en face de l'Allemand. Une grande fenêtre de petite taille venait rompre la linéarité de la cloison. Ce soldat songeait. A quoi ? Nul ne saurait le dire. Mais l'action de penser fut bien présente. Cela se ressentait dans son regard.
Une mélodie sortait de nulle part.
Von Dertïner stoppa net son occupation. De son regard, un étrange sentiment était présent. Il paraissait alors, transportait. Son regard vivait par absence de vie, son corps décontracté et ces mains ouvertes fut tomber le journal sur le sol poussiéreux. La pièce à conviction resta ouverte toujours à la même page, toujours les mêmes mots ressortaient, toujours la même illustration ressortait. La mélodie devint audible.
Le matin du 16 Août était pluvieux. Le ciel s'était vêtu de longs et larges manteaux gris. Des poches, quelques ustensiles tombèrent. La pluie fine s'écrasa sur les soldats. Ceux-ci, levé les mains au ciel, le visage ouvert à la pluie. Des fines goûtes ruissellent sur le front, puis le nez, la joue et vint s’écrasé sur l’épaule des soldats. La pluie se fait rare de nos jours d’été. La pluie fit de nos vaillants soldats, des bêtes, des êtres inhumains déchirer par la barbarie humaine existante depuis que les guerres existent. Toujours plus grandes, toujours plus meurtrière, toujours plus sophistiqué, toujours plus violente, toujours plus haïssable.
La mélodie dégagea un étrange sentiment, l'officier éprouvait de la mélancolie. La prépondérance du ton mineur de ce prélude s'élevait dans la pièce. L'officier tétanisé n'osait plus se manifester. Les larmes lui vinrent et coulèrent le long de ces joues. Ses yeux rougirent par la tristesse, blanchirent par l'émotion. Le souvenir de tous ces visages, ternes, froids, inanimés,vidés de vie, bleuis lui faisait horreur. Le massacre qu'il avait ordonné lui causa une profonde tristesse. Ces horribles images lui revinrent souvent. La musique laissait couler ses larmes. Cette musique, il l'avait déjà entendu. L'endroit ? Le lieu ? La date ? Toutes ses questions restèrent sans réponses. La culpabilité raisonnée au fond de lui. Plus l'air fut présent, plus la tristesse le vidait de vie. Soudain, Il se leva.
L'officier Allemand, allongeant le bras et tendit une main fraternelle envers ses soldats à la fin de son discourt. Puis il se retourna. La masse se mit en route vers la cité. Le pas modéré des soldats sur le sol rocheux laissait entendre le rythme binaire, modéré des soldats, la pulsation est maintenue jusqu'à l'entré de la cité. Le capitaine fit une halte, action mimée par les soldats. Fusil au bras, le bataillon est prêt au combat. Puis l'officier cria un ordre en Allemand. Les soldats levèrent le cap dans la cité. Fusil au bras, armes de points à la ceinture, tout le monde s'élança dans cette cité. L'action fut commandée par l'ordre noir. Ordre selon lequel les supérieurs hiérarchiques ne veulent pas de prisonniers. Tout le monde sera exécuté durant cet assaut.
Le visage entre ses mains. La cigarette entre ses doigts. Le dos courbé. L'uniforme vieillit par la lumière reflètait une certaine rigoureusité du personnage. Pourtant, l'écoute prolongée de ce morceau reveillait sa curiosité intellectuelle et altéré son idéologie propre au mouvement politique de l'époque. Son ouïe fut flattée par la magnificence du morceau. Un chef d'oeuvre signé de la main de notre maître, Jean-Sébastien Bach. Le désir d'une connaissance musicale approfondie de ce génie allait à l'encontre de sa marche et de ses ambitions militaires. Mais selon lui, la musique est bien plus intéressante que les ordres funéraires ordonnés par les suppérieur. Sa pensé devint philosophique. Son âme devint grande. Sa docilité devint inéxistante. Sa nostalgie, son regret et son remord sont tels qu'il ne parvint pas à oublier ce jour là.
Les soldats rentrèrent dans les maisons, armes au point. Les occupants sont tous assassinés.
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Ce texte est écrit avec une musique de fond bien précise, et la lecture devrais se faire, si possible, avec la même musique. Grand admirateur de Bach que je suis, ce texte va de paire avec les oeuvres de Bach nommé Le clavier bien tempéré regroupé en 2 cahier. Les morceaux que j'ai choisi sont entre autres :
Prélude n°8 en Mi b mineur.
Fugue n°8 en Ré # mineur.
Prélude n°10 en Mi mineur.
Fugue n°10 en Mi mineur.
Prélude n°12 en Fa mineur.
Prélude n°16 en Sol mineur.
Fugue n°16 en Sol mineur.
Prélude n°18 en Sol # mineur.
Fugue n°8 en Ré # mineur.
Prélude n°10 en Mi mineur.
Fugue n°10 en Mi mineur.
Prélude n°12 en Fa mineur.
Prélude n°16 en Sol mineur.
Fugue n°16 en Sol mineur.
Prélude n°18 en Sol # mineur.
mardi 13 mars 2007
la vie.
Nous n'avons pas le pouvoir de guider la vie, ni même de la choisir. Mais le devoir d'en profiter pour ceux qui l'ont quité trop vite...
Les enfants Leidfath sont nés en Août 1867 dans une famille bourgeoise Anglaise. Enfants de bonne famille, leur éducation soignée est faite de manière attentionnée. Les cours étaient dispensés à l'école protestante du village. La famille Leidfath était effectivement protestante. Elle avait un fils, Neils ainsi qu'une fille, Leisl. L'école ne se trouvait guère loins du lieu d'habitation de la famille. Les enfants avaient l'habitude de faire ce trajet là.
L'école dominait le haut du village. Le temple, juste en face, représentait la foi mais aussi, l'avenir. La famille Leidfath concidérait que seul les métiers d'Église étaient. Les adolescents avaient leur voie prétracer. Tout aurais du se passer pour le mieux. L'exemplaire éducation morale rendaient les enfants fort intéressant lors de débat sur de magnifique sujet. L'éducation religieuse était transcendant. Ils connaissaient leur serment par coeur, connaissaient leur messe et donnés de l'aide au curé. Or, tout bascula en ce sombre et pluvieux matin de Septembre 1883.
Ce fut en ce mardi 16 Septembre que le drame arriva. Alors que le soleil surplombait le versant nord de la coline comme à son habitude, les deux enfants se rendirent dans un lieu se voulant être une école. Malheureusement, le Dimanche 14 Septembre les Jésuites avaient donné l'ordre d'envahir les villages protestant de la campagne Londonniène et l'injonction d'asservir toutes personnes refusant le commandemment des suppérieurs. Les armées catholiques s'élancèrent sur les routes de Londres ce matin là. C'est à la hauteur d'Edenbridge que les troupes commencèrent leur invaison religieuse.
La suite arrivera prochainement. J'ai décidé de continuer ce texte dans l'optique de démontrer par la fiction ce pour quoi se sont batue les philosophes de Lumières. Le sujet concernant les guerres de religions, et la place de la religion... Si vous voulez me conseiller de faire apparaître une idée précise, dîtes le moi, je le ferais avec plaisir.
Les enfants Leidfath sont nés en Août 1867 dans une famille bourgeoise Anglaise. Enfants de bonne famille, leur éducation soignée est faite de manière attentionnée. Les cours étaient dispensés à l'école protestante du village. La famille Leidfath était effectivement protestante. Elle avait un fils, Neils ainsi qu'une fille, Leisl. L'école ne se trouvait guère loins du lieu d'habitation de la famille. Les enfants avaient l'habitude de faire ce trajet là.
L'école dominait le haut du village. Le temple, juste en face, représentait la foi mais aussi, l'avenir. La famille Leidfath concidérait que seul les métiers d'Église étaient. Les adolescents avaient leur voie prétracer. Tout aurais du se passer pour le mieux. L'exemplaire éducation morale rendaient les enfants fort intéressant lors de débat sur de magnifique sujet. L'éducation religieuse était transcendant. Ils connaissaient leur serment par coeur, connaissaient leur messe et donnés de l'aide au curé. Or, tout bascula en ce sombre et pluvieux matin de Septembre 1883.
Ce fut en ce mardi 16 Septembre que le drame arriva. Alors que le soleil surplombait le versant nord de la coline comme à son habitude, les deux enfants se rendirent dans un lieu se voulant être une école. Malheureusement, le Dimanche 14 Septembre les Jésuites avaient donné l'ordre d'envahir les villages protestant de la campagne Londonniène et l'injonction d'asservir toutes personnes refusant le commandemment des suppérieurs. Les armées catholiques s'élancèrent sur les routes de Londres ce matin là. C'est à la hauteur d'Edenbridge que les troupes commencèrent leur invaison religieuse.
La suite arrivera prochainement. J'ai décidé de continuer ce texte dans l'optique de démontrer par la fiction ce pour quoi se sont batue les philosophes de Lumières. Le sujet concernant les guerres de religions, et la place de la religion... Si vous voulez me conseiller de faire apparaître une idée précise, dîtes le moi, je le ferais avec plaisir.
mardi 6 mars 2007
la réflexion personnelle est le seul moyen de voir par soi-même.
Je pense, et je ne suis pas seul, que la société actuelle est en déclin dans plusieurs domaines alors que l'avancé technologique est à son apogée. Je me suis dons posé plusieurs questions afin d'essayer de développé une problématique intéressant répondant à mes intérogation. je vous invite à réagir dans les commentaires pour me faire part de vos idées aussi.
Sujet : Quelles sont les évolutions technologiques sur la société actuelle et quelles en sont ses conséquences.
Sujet : Quelles sont les évolutions technologiques sur la société actuelle et quelles en sont ses conséquences.
dimanche 4 mars 2007
L'Ecole.
Je me permet de rexprimer mes idées et de les expliquer quant au rôle de l'école que j'avais avancé maladroitement dans un article précédent.
Tout d'abord je tenais à m'excuser au près du professeur, qui n'était pas visé dans ce que j'avais dit. Tout d'abord quand je parlais de l'école j'entendais le système éducatif primé par le ministère de l'éducation nationale, à savoir former des différences toujours plus importante entre les élèves. Commencer les séparations dès le plus jeune âge avec l'idée des socles communs.
Les socles communs peuvent être défendu par une idée que je trouve fort juste. Les socles communs ont pour utilité d'exerce le sujet élève à passer des examens, si on puis concidérer cela comme tel. Nous pouvons voir cela comme un exercice ayant pour but d'anticipé (longtemps avant) les différentes épreuves que l'élève serait sujet de subir. Verdict : très bonne initiative qui causerai sûrement moins d'échec au bac (bien que les échecs se répercutent généralement avant les bacs...). Cependant certain (dont je fais parti) dirons que les socles communs favoriseront les différences entre les élèves. Imaginez les répercutions psychologiques que cela peut causer sur un élève passant une période difficile du à des évènements familliaux, ou privé. Mais le pire, c'est que ces socles communs seront, je le pense, à long terme des obligations pour rentrer dans le niveau supérieur (à savoir par exemple, le collège).
Lorsque je disais l'école contibu, je visais effectivement l'éducation nationale. Je suis concient que les origines sont multiples. Je pense que la télévision est l'un des pricipaux facteurs intervenant dans la phrase suivante : " Dis moi ce que tu consommes, je te dirai qui tu es ! ".
Le deuxième problème est le fait que l'éducation dispensé par les parents ne marquent pas suffisemment les limites du fait que l'enfant aura tendance à manquer de respect au professeur. Je me posais la question suivante Mr le professeur : Lorsque nos parents (comprendre le sens de la généalogie) étaient élèves au début du siècle, il y avait une éducation très strict (pour les personnes allant en cours...). Les professeurs étaient craints des élèves ... Actuellement c'est plutôt l'effet inverse qui se met en place, ce sont généralement les élèves qui sont criant des professeurs.
Que pensez vous, si aujourd'hui il y aurait un retour à "l'ancienne école" ?
Et par ailleurs comment faire pour que notre société retrouve la discipline qu'elle avait au début du siècle ?
Qu'elle est l'origine de cette société de consommation ?
Je vous invite, lecteurs de ce blog, à laisser votre opinion, je vous laisse réagir. Cette article est relié à Préface d'un article sur la compétition.
C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
Tout d'abord je tenais à m'excuser au près du professeur, qui n'était pas visé dans ce que j'avais dit. Tout d'abord quand je parlais de l'école j'entendais le système éducatif primé par le ministère de l'éducation nationale, à savoir former des différences toujours plus importante entre les élèves. Commencer les séparations dès le plus jeune âge avec l'idée des socles communs.
Les socles communs peuvent être défendu par une idée que je trouve fort juste. Les socles communs ont pour utilité d'exerce le sujet élève à passer des examens, si on puis concidérer cela comme tel. Nous pouvons voir cela comme un exercice ayant pour but d'anticipé (longtemps avant) les différentes épreuves que l'élève serait sujet de subir. Verdict : très bonne initiative qui causerai sûrement moins d'échec au bac (bien que les échecs se répercutent généralement avant les bacs...). Cependant certain (dont je fais parti) dirons que les socles communs favoriseront les différences entre les élèves. Imaginez les répercutions psychologiques que cela peut causer sur un élève passant une période difficile du à des évènements familliaux, ou privé. Mais le pire, c'est que ces socles communs seront, je le pense, à long terme des obligations pour rentrer dans le niveau supérieur (à savoir par exemple, le collège).
Lorsque je disais l'école contibu, je visais effectivement l'éducation nationale. Je suis concient que les origines sont multiples. Je pense que la télévision est l'un des pricipaux facteurs intervenant dans la phrase suivante : " Dis moi ce que tu consommes, je te dirai qui tu es ! ".
Le deuxième problème est le fait que l'éducation dispensé par les parents ne marquent pas suffisemment les limites du fait que l'enfant aura tendance à manquer de respect au professeur. Je me posais la question suivante Mr le professeur : Lorsque nos parents (comprendre le sens de la généalogie) étaient élèves au début du siècle, il y avait une éducation très strict (pour les personnes allant en cours...). Les professeurs étaient craints des élèves ... Actuellement c'est plutôt l'effet inverse qui se met en place, ce sont généralement les élèves qui sont criant des professeurs.
Que pensez vous, si aujourd'hui il y aurait un retour à "l'ancienne école" ?
Et par ailleurs comment faire pour que notre société retrouve la discipline qu'elle avait au début du siècle ?
Qu'elle est l'origine de cette société de consommation ?
Je vous invite, lecteurs de ce blog, à laisser votre opinion, je vous laisse réagir. Cette article est relié à Préface d'un article sur la compétition.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
lundi 19 février 2007
Concert Classique à l'archipel à paris.
Le jeudi 22 Février je vais très surement assister à un concert classique en hommage à notre très cher Frédérique Chopin. L'interprète Aya Okuyama jouera des Préludes, une Ballade, une Polonaise, des Nocturnes et un Mazurka. Bach sera aussi de la partie avec des Préludes et des Fugues. Vous devez vous demandez pourquoi l'on trouve dess oeuvres de Bach dans un concert en hommage à un compositeur tel que Chopin ? La réponse, multiple en réalité est très simple : tout d'abord Bach est concidéré (pas à tord d'ailleurs) comme un génie. Nous lui devons effectivement la transition du Baroque au Classissisme dont il fut un pillier majeur. Par ailleurs la deuxième sources de réponse vient du faite que Chopin était musicalement très proche de Bach. Vous savez, les Préludes portent la particularité que nous pouvons jouer ces oeuvres avec la partition, nous sommes libre dans notre interprétation et par ailleurs bach peut être jouer dans tout les concerts, il ne sera jamais concidéré comme un choix irraisonable, si vous voyez ce que je désire vous dire. Avant de finir, si vous ne connaissez pas encore Chopin malgré mes articles antérieurs et votre connaissance musicale acquise depuis de longues années, je vous invite à écouter, de manière appliquée, les quelques oeuvres présentes de Chopin ci-dessous.
Bonne continuation, laissez tout de même votre trace en m'indiquant les points positifs certes, mais aussi (et surtout) les points négatifs de ce texte que je viens d'élaborer. Sans cela, je ne pourrai, fautes de critique, m'améliorer.
C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
Bonne continuation, laissez tout de même votre trace en m'indiquant les points positifs certes, mais aussi (et surtout) les points négatifs de ce texte que je viens d'élaborer. Sans cela, je ne pourrai, fautes de critique, m'améliorer.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
mercredi 14 février 2007
Le père.
« Bonsoir ma chère et tendre Ambre,
Je suis désolé de ne pas avoir pu trouver un moment pour t’écrire plus tôt. Tu sais maintenant que j’aime utiliser mes moments de liberté à t’écrire, tout comme ma passion déchirée de mon amour envers ton être. Je ne suis pas apte à subsister sans toi ! Mais conjure-moi de rester indifférente, de ne prêter guère d’attention à ce fait…
Je voulais te mettre au courant que l’on a reçu aujourd’hui une grande personne. C’était Mr Virnas, un grand physicien. Il m’a expliqué maintes choses intéressantes. Bref, je voulais te parler de mon père, sa façon de penser, de parler, de se comporter vers autrui… De nouveau son comportement empire, il devient névrosé et par moments cela relève de la pathologie. Il ne supporte pas de se voir « rabaissé » au rang de « Mr tout le monde, je ne suis pas tout le monde, je suis Mr le PDG de « Visions Galilée’s Institue » ». Mais ne vois-tu pas que maintenant il a honte que son propre fils fréquente des amis. « Pfff, ces personnes là ne sont pas des amis, ce qu’ils veulent c’est ton fric et non ta personne. Idem pour ta copine, attend ! Trouve toi une petite-bourgeoise, comme ça l’argent sera des deux cotés, pour une fois ! » Il ne pense qu’à son foutu fric ! Comme quoi l’argent rend totalement fou. Qu’est-ce qui prouve que Mr le PDG est plus intelligent que Mr le concierge ou que Mr le bibliothécaire ? Rien, les études montrent effectivement qu’il n’y a strictement aucun lien entre argent et intelligence ! L’argent facilite certes l’approche de la culture mais ne rend pas plus intelligent par sa simple possession ! Je suis démuni de toute arme, désemparé et désolé de voir mon père, que j’aime, se faire tuer par son entreprise. Il passe de plus en plus de temps à son bureau. La société à une passe financière actuelle difficile certes, mais pas insurmontable tout de même. Sa propre famille passe après ! Je suis son fils, et bien quoi ? D’accord j’ai de l’argent, j’ai quasiment fais le tour de la terre, cependant cela n’est pas ma raison de vivre. Vois-tu Ambre, j’ai trouvé la seule lueur dans ce sombre monde où nulle lumière n’est assez puissante pour subsister. Uniquement la tienne arrive encore à m’éclairer le chemin de la survie. »
C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci.
Par ailleurs ce texte est une fiction. Tout raprochement sera coincidence et ne pourra faire l'oeuvre d'une poursuite.
L'univers classique de la musique.
L'univers classique de la musique car c'est une passion, une base, une culture et un mode de vie, de pensé. Je pense que la musique classique à elle seule reprend toutes les autres. Je trouve cette musique très belle. Les plus grand compositeur, à jamais seront présent dans nos mémoires auditives. Parce que la passion du classique est une passion qui n'a nule limites spaciales et de durée. Pour diverses raisons, j'aimerais que vous aussi vous vous trouviez transporté, par cette bien étrange musique qui viens nous berser au plus profond de notre être. Ce sont des morceaux très connu pour la plupart, mais des morceaux sublimissimes. Je vais mettre des liens vers des pages de youtube où l'on peut avoir un apperçut de ces morceaux.
Nocturne opus posthume n°20 Chopin.
Prélude in D Minor N°24 Chopin. (joué sur un pleyel !!!)
Étude opus 10 in F Minor Chopin.
C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
Prélude in D Minor N°24 Chopin. (joué sur un pleyel !!!)
Étude opus 10 in F Minor Chopin.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
lundi 12 février 2007
Fanstaisie Impromptu.
Bonsoir.
Je suppose que vous connaissez tous Chopin ? Cela ne fais aucun doute, du moins, je l'espère. J'ai découvert, pas le morceau mais une interprétation de la fantaisie impromptu de Chopin sur Youtube. Petite touche d'histoire, la fantaisie impromptu avait été nommé simplement impromptu par son compositeur. Cependant l'éditeur de Chopin a rajouté, pour une raison qui m'échappe, le mot fantaisie donnant alors fantaisie impromptu. Ce morceau est relativement dure à jouer, du fait du mélange entre le rythme ternaire de la mélodie et du rythme binaire de la basse. Cela fut scandale à l'époque dirais-je conservatrice de la composition classique. Il ne faut pas non plus oublier, que la fantaisie impromptu fut l'une des dernières oeuvres composé par Chopin et joué lors de son vivant. Effectivement, en ce qui concerne ces nocturnes (mot masculin) un certain nombre, les plus beaux d'après moi, furent publié posthume.
Si vous ne connaissez pas la fantaisie impromptu de Chopin, je vous invite à regarder et surtout, à écouter l'interprétation de Yundi Li pour ce chef d'oeuvre réservé au plus grand.
La fantaisie Impromptu.
Si vous avez aimé ce morceau, je peux mettre en illustration un morceau de la partition que je possède chez moi. De plus, je vous invite à mettre un commentaire sur cet article. Une musique de ce style ne peux vous laisser indifférent. De plus, si vous le souhaitez, je peux vous présenter d'autres oeuvres d'une admirable beauté.
C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
Je suppose que vous connaissez tous Chopin ? Cela ne fais aucun doute, du moins, je l'espère. J'ai découvert, pas le morceau mais une interprétation de la fantaisie impromptu de Chopin sur Youtube. Petite touche d'histoire, la fantaisie impromptu avait été nommé simplement impromptu par son compositeur. Cependant l'éditeur de Chopin a rajouté, pour une raison qui m'échappe, le mot fantaisie donnant alors fantaisie impromptu. Ce morceau est relativement dure à jouer, du fait du mélange entre le rythme ternaire de la mélodie et du rythme binaire de la basse. Cela fut scandale à l'époque dirais-je conservatrice de la composition classique. Il ne faut pas non plus oublier, que la fantaisie impromptu fut l'une des dernières oeuvres composé par Chopin et joué lors de son vivant. Effectivement, en ce qui concerne ces nocturnes (mot masculin) un certain nombre, les plus beaux d'après moi, furent publié posthume.
Si vous ne connaissez pas la fantaisie impromptu de Chopin, je vous invite à regarder et surtout, à écouter l'interprétation de Yundi Li pour ce chef d'oeuvre réservé au plus grand.
Si vous avez aimé ce morceau, je peux mettre en illustration un morceau de la partition que je possède chez moi. De plus, je vous invite à mettre un commentaire sur cet article. Une musique de ce style ne peux vous laisser indifférent. De plus, si vous le souhaitez, je peux vous présenter d'autres oeuvres d'une admirable beauté.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
samedi 10 février 2007
Préface d'un article sur la compétition.
Bonsoir.
La question ici développée, reste uniquement la provenance de cette notion de compétition. Les gens, actuellement cherchent toujours à aller plus vite, à avoir le plus gros, le plus, "toujours plus que mon voisin". Nous décelons en prime abord le cas des voitures toujours plus puissantes, plus grosse, plus luxieuse que jamais d'où découle une facination chez une certaine classe social de la société. Des particuliers vont emprainter pour pouvoir s'acheter une voiture belle, rapide, neuve et chère ! Le paradoxe est que la majorité de ces personnes ne sont pas en maison, sont en appartement, en location ou ayant déjà un ou maint prets ouvert. Cela est en partie du, excluant tout d'abord l'auto contrôle, aux médiats, à la pub etc...
Il ne s'agit là que d'un extrait d'une réflexion pouvant être développé. Je n'ai écris que ce passage, qui sera la préface d'un article nommé initallement article sur la compétition. Je pourrais continuer cet article si le courage me gagne, et si la motivation est de la partie. Ce domaine mérite d'être "montrer du doigt" pour pouvoir bouger. Ce que je vais faire moi, ne va surement rien changer, cependant ma conscience sera tranquille car j'aurais néanmoins essayé.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
mercredi 10 janvier 2007
Triangle jaune, carré rouge et rond bleu.
Ce tableau composée de trois parties est couramment appelé triangle jaune, carré rouge et cercle bleu :
- La première regroupe l’élément majeur, à gauche, peint en jaune. Il est sur un fond or, telle une illumination pour le mettre en valeur. Cet élément est constitue un place importante, il est le contraste de la partie opposé de droite. La partie de gauche est principalement composée de formes géométriques, noires d’épaisseur variante. Elles sont principalement Fines. Elles formes une unité ancré dans le tableau, leur rôle majeur est de maintenir enfermé la partie jaune, elle la compresse. C’est pour cela que la partie jaune est très géométrique. Un rectangle. Toutes ces lignes forment un triangle, le triangle jaune, là où le jaune est principalement présent, uniquement présent.
- Le bleu, nettement visible à droite, a une forme décrivant un cercle. L’extérieur de ce cercle est comme limité par une grosse bande noire, épaisse. La limite éternelle du cercle est parfaite malgré quelques petits carrés parasites. La bande représente un serpent, venant épouser les formes de ce cercle là. Pour obtenir l’image du serpent qui mange sa queue.
- Le rouge, lui se trouve entre le triangle jaune et le cercle bleu. On trouve au total, trois entités de rouge. Elles sont toutes définies par un rectangle, particulier ou pas. Des damiers multi couleurs ou monochromes sont présents. Cela renforce le jeu de couleur, explicitement exprimé dans ce tableau. Les formes abruptes s’entremêlent avec les formes sinueuses.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
De plus, je vous demande de bien vouloir respecter mon travail. J'ai réalisé cette succinte et vague analyse tout seul. Je ne prends nul cours d'art, ni autres choses donc c'est tout à fait normal si je commets des erreurs... Cependant, pour tous conseils, adressez vous à moi, je suis toujours preneur.
mardi 9 janvier 2007
Vasily Vasilyevich Kandinsky.
Je brosserai de façon frivole sa vie. Une présentation rapide pour ceux qui ne connaisse pas, du moins encore, ce peintre. Kandinsky est un peintre Russe né à Moscou le 16 Décembre 1866 et mort le 13 Décembre 1944.
Sa vie fut mouvementée. En prime abord, il se lança dans une université de Moscou où lui étaient enseigné le droit et l’économie. Malgré de brillantes réussites dans ce milieu-là, il préféra aborder le domaine des arts. Il est alors âgé de 30 ans quand lui survient le goût de la peinture. Il se dirige vers la faculté des Beaux-Arts de Munich en 1896 pour y étudier. 1917 survient révolution russe. Le peintre attiré alors, décide d’y retourner. Seulement les théories officielles sur l’art furent changées. Se trouvant en conflit avec, il décide de retourner en Allemagne, on est alors en 1921. Il enseignera à Bauhaus de 1922 à 1933, date à laquelle l’école fut fermée par les nazis. Il émigra en France pour échapper au nazisme. Il mourut à Neuilly-sur-Seine le 13 Décembre 1944
Jaune Rouge Bleu fut peint par kandinsky en 1925. Ce tableau est de grande taille. Ses dimentions sont de 2,02m par 1,28m. Je désirais mettre ce tableau de Kandinsky car c'est, selon moi l'un de ses tableaux cultes. Effectivement, il est le fondateur de l'art abstrait (Mary, si je me trompe je compte sur toi pour que tu rectifie !). Il fut peintre et théoricien de l'art.
Actuellement, nous pouvons voir ce tableau au cinquième étage à la section 11 du centre Pompidou, où il trouva sa place au courent de l'année 2002.
C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
(je risque de faire une petite analyse, éventuellement. Cela est en projet, mais pas encore en exécution.)
Sa vie fut mouvementée. En prime abord, il se lança dans une université de Moscou où lui étaient enseigné le droit et l’économie. Malgré de brillantes réussites dans ce milieu-là, il préféra aborder le domaine des arts. Il est alors âgé de 30 ans quand lui survient le goût de la peinture. Il se dirige vers la faculté des Beaux-Arts de Munich en 1896 pour y étudier. 1917 survient révolution russe. Le peintre attiré alors, décide d’y retourner. Seulement les théories officielles sur l’art furent changées. Se trouvant en conflit avec, il décide de retourner en Allemagne, on est alors en 1921. Il enseignera à Bauhaus de 1922 à 1933, date à laquelle l’école fut fermée par les nazis. Il émigra en France pour échapper au nazisme. Il mourut à Neuilly-sur-Seine le 13 Décembre 1944
Jaune Rouge Bleu fut peint par kandinsky en 1925. Ce tableau est de grande taille. Ses dimentions sont de 2,02m par 1,28m. Je désirais mettre ce tableau de Kandinsky car c'est, selon moi l'un de ses tableaux cultes. Effectivement, il est le fondateur de l'art abstrait (Mary, si je me trompe je compte sur toi pour que tu rectifie !). Il fut peintre et théoricien de l'art.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
(je risque de faire une petite analyse, éventuellement. Cela est en projet, mais pas encore en exécution.)
dimanche 7 janvier 2007
Les quatres saisons de Antonio Vivaldi.
Le troisième mouvement de l'été des quatres saisons de vivaldi, "Presto: Tempo impetusos d'estate" est l'un des morceaux les plus connu de cette oeuvre de Vivaldi. Cet oeuvre fait partie de mes morceaux favoris de Vivaldi.
Qu'il est magnifique.
Que c'est beau le classique.
Que c'est beau le classique.
Vous savez, lorsque l'on se retrouve assis, quelque part, les yeux fermés et l'esprit bersé, nous révons. Notre esprit se libert de toutes ses inquiétudes. La musique nous guide, Les notes solistes éveillent notre ouïe. Ces notes montant dans l'aigü au violon se contrastent brusquement par le réveil harmonique et brutal des basses. Les thèmes se répètent et se reprennent, se complètent et se renouvellent. Et moi, dans tout ça, je suis perdu. Nous ne savons plus où nous placer. Vous sentez que vous genez mais vous n'arrivez pas à trouvez. Les chefs d'oeuvres nous rendent petit à côté de l'immensité de l'oeuvre. Seuls les génies de la musique ne mourront pas. Au contraire ils ne peuvent être qu'intensément ramener à l'ordre du jour. Leurs musiques indémodable traverseront tous les courants, toutes les époques tout en restant sublîmissime.
Pour ceux qui n'ont pas eu la chance d'avoir la musique ici en question, voilà un lien où vous pouvez avoir un apperçu de la musique.
Malheureusement, je n'ai trouver ce morceau entier seulement en format midi, ce qui rend la musique robotique sans l'oeuvre d'interprétation d'une symphonie. Mais il s'agit dans tout les cas du morceau de Vivaldi issus des quatres saisons.
C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
Pour ceux qui n'ont pas eu la chance d'avoir la musique ici en question, voilà un lien où vous pouvez avoir un apperçu de la musique.
Malheureusement, je n'ai trouver ce morceau entier seulement en format midi, ce qui rend la musique robotique sans l'oeuvre d'interprétation d'une symphonie. Mais il s'agit dans tout les cas du morceau de Vivaldi issus des quatres saisons.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
jeudi 4 janvier 2007
Écriture d'invention du sujet Es-S.
Mon très cher Alphonse Daudet,
Bonjour.
Je vous écris cette lettre de ma plume, illuminée par ma bougie et le clair de lune. Je suis encore engourdi par la lecture de votre texte. Que votre style me charme mon cher Alphonse.
Vous savez, cela ne m’étais pas arrivé depuis longtemps, mais là, je fus transporté d’émotion. Depuis la mort de mon mari, je n’ai guère plus de raison de vivre qu’un malade ayant une maladie incurable. Seulement, depuis la réception de votre lettre ainsi que sa lecture, ma vie tout entière fut secouée. C’est pour cette raison-là que je suis encore engourdi. Je lus et relus votre texte. Je me suis mise à mon écritoire pour vous faire part de mes sentiments. Mes yeux furent emplis de chaudes et lourdes larmes de tristesse après la lecture de votre lettre. Un frisson de tristesse me gela instantanément. Je fus paralysé un moment comme pris d’un vertige. Je ne me contrôlais plus, la tristesse régnait alors dans mon âme. Ce fut à ce moment-là précisément, que je réalisai la chance que j’avais d’être encore en vie. Mon triste défunt mari n’eut pas la même chance que moi.
Grâce à vous, Alphonse, J’ai réfléchi. Réfléchi à la valeur de notre être. Que notre vie est courte. À quoi bon vouloir incessamment se résoudre de faire plaisir à autrui. Lorsque nous demeurons lasse et sans retour. Vidé de tous plaisir et de toutes joies. Nul dans ce monde, ne peut jouir de sa clémence. Nul n’a le devoir de faire plaisir dans le dessein de satisfaire son entourage. Il peut le faire pour obtenir son euphorie certes, mais voyez par vous-même, le personnage que vous avez peint, pâti de sa bonté ! Mon cher Alphonse, répondez-moi, je vous prie, sincèrement à cette question. Est-il un devoir de servir autrui au péril de notre vie et de notre santé ?
En cette heure tardive, le clair de lune venant chatouiller ma plume et le sommeil bercé mon esprit, je vais devoir vous quitter. Ce fus un plaisir de trouver, ce matin cette histoire. J’en fus touché au plus profond de mon être.
Bonsoir.
C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
Par ailleurs, j'ai commencé la rédaction du sujet d'invention juste là pour m'entraîner et m'occuper un peu, il n'est en aucun cas fini (pour le moment) !
Bonjour.
Je vous écris cette lettre de ma plume, illuminée par ma bougie et le clair de lune. Je suis encore engourdi par la lecture de votre texte. Que votre style me charme mon cher Alphonse.
Vous savez, cela ne m’étais pas arrivé depuis longtemps, mais là, je fus transporté d’émotion. Depuis la mort de mon mari, je n’ai guère plus de raison de vivre qu’un malade ayant une maladie incurable. Seulement, depuis la réception de votre lettre ainsi que sa lecture, ma vie tout entière fut secouée. C’est pour cette raison-là que je suis encore engourdi. Je lus et relus votre texte. Je me suis mise à mon écritoire pour vous faire part de mes sentiments. Mes yeux furent emplis de chaudes et lourdes larmes de tristesse après la lecture de votre lettre. Un frisson de tristesse me gela instantanément. Je fus paralysé un moment comme pris d’un vertige. Je ne me contrôlais plus, la tristesse régnait alors dans mon âme. Ce fut à ce moment-là précisément, que je réalisai la chance que j’avais d’être encore en vie. Mon triste défunt mari n’eut pas la même chance que moi.
Grâce à vous, Alphonse, J’ai réfléchi. Réfléchi à la valeur de notre être. Que notre vie est courte. À quoi bon vouloir incessamment se résoudre de faire plaisir à autrui. Lorsque nous demeurons lasse et sans retour. Vidé de tous plaisir et de toutes joies. Nul dans ce monde, ne peut jouir de sa clémence. Nul n’a le devoir de faire plaisir dans le dessein de satisfaire son entourage. Il peut le faire pour obtenir son euphorie certes, mais voyez par vous-même, le personnage que vous avez peint, pâti de sa bonté ! Mon cher Alphonse, répondez-moi, je vous prie, sincèrement à cette question. Est-il un devoir de servir autrui au péril de notre vie et de notre santé ?
En cette heure tardive, le clair de lune venant chatouiller ma plume et le sommeil bercé mon esprit, je vais devoir vous quitter. Ce fus un plaisir de trouver, ce matin cette histoire. J’en fus touché au plus profond de mon être.
Bonsoir.
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
Par ailleurs, j'ai commencé la rédaction du sujet d'invention juste là pour m'entraîner et m'occuper un peu, il n'est en aucun cas fini (pour le moment) !
mercredi 3 janvier 2007
Ailleurs, c'est l'amertume de la vie.
Ailleurs, l’amertume de la vie…
« Ailleurs ! »
La décision prise durant l’entretient se résumait à ce seul mot, « Ailleurs ! ». Cette affirmation traumatise par sa cruauté. Son est ton froid et indifférent. Lui, n’en revenait toujours pas ! Lui, pourtant si aimé, si apprécié, si envié … l’ intonation de ces termes doit être de plus en plus forte, en crescendo. Jamais cela, du moins cette réponse négative accentuation de ce mot aurait dû arriver.
Le café coule dans la tasse. La chaîne hi-fi est allumée.
Posé. Non pas posé, marquer une courte pose ce n’est pas le cas, marquer une courte pose avachie. Avachie sur la canapé qui borde l’angle du salon.
Attend.
Du monde se trouve dans la montée d’escalier, sûrement devant l’ascenseur. Cela, fait du bruit.
Le café à fini son ascension dans la tasse. La machine, elle se repose. Tout comme lui.
Les voisins doivent s’ennuyer. La télévision vient de s’allumer. Perçoit un inaudible son, ce qui n’est pas très agréable.
Attend encore. marquer une courte pose Quoi ? Nul ne saurait le dire, marquer une courte pose mais attend encore.
Tiens ! La nuit tombe. Le salon devient sombre. marquer une courte pose Un temps. marquer une courte pose Se lève, marquer une courte pose, un temps, allume le plafonnier et se rassoie.
Le café va être froid.
Se réveille. La sonnerie du téléphone retentie. marquer une courte pose Ne répond pas. N’a pas envi.
La sonnerie continue. Le rêve trompe ! Ce n’était pas le téléphone. marquer une courte pose Mais l’hôte, devant la porte qui s’impatientait.
Se lève et l’ouvre. marquer une courte pose La porte, hein ?! Pas l’hôte. Cette phrase doit faire ressortir de l’humour froid. Dite sur un ton se coupant de la monotonie du reste du texte, un ton bref, puis retombe dans la monotonie.
Le discours. Oui la discussion. Et ben vous savez quoi ? Marquer une courte pause Elle va porter sur l’entretient, et cela n’en fait aucun doute ! Mais aucune envi de parler surgie. marquer une pose plus longue que les précédentes. Juste celle de tuer.
Laisser les orateurs sur cette fin, aussi neutre possible. Les orateurs doivent se demander ce qui va se passer après. Leur travail sera de faire une réflexion sur le sujet. Rien ne dois être dévoilé. Tout comme le ressenti, les sentiments qui ne sont pas transmit directement. L’orateur est libre…
C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
Posé. Non pas posé, marquer une courte pose ce n’est pas le cas, marquer une courte pose avachie. Avachie sur la canapé qui borde l’angle du salon.
Attend.
Du monde se trouve dans la montée d’escalier, sûrement devant l’ascenseur. Cela, fait du bruit.
Le café à fini son ascension dans la tasse. La machine, elle se repose. Tout comme lui.
Les voisins doivent s’ennuyer. La télévision vient de s’allumer. Perçoit un inaudible son, ce qui n’est pas très agréable.
Attend encore. marquer une courte pose Quoi ? Nul ne saurait le dire, marquer une courte pose mais attend encore.
Tiens ! La nuit tombe. Le salon devient sombre. marquer une courte pose Un temps. marquer une courte pose Se lève, marquer une courte pose, un temps, allume le plafonnier et se rassoie.
Le café va être froid.
Se réveille. La sonnerie du téléphone retentie. marquer une courte pose Ne répond pas. N’a pas envi.
La sonnerie continue. Le rêve trompe ! Ce n’était pas le téléphone. marquer une courte pose Mais l’hôte, devant la porte qui s’impatientait.
Se lève et l’ouvre. marquer une courte pose La porte, hein ?! Pas l’hôte. Cette phrase doit faire ressortir de l’humour froid. Dite sur un ton se coupant de la monotonie du reste du texte, un ton bref, puis retombe dans la monotonie.
Le discours. Oui la discussion. Et ben vous savez quoi ? Marquer une courte pause Elle va porter sur l’entretient, et cela n’en fait aucun doute ! Mais aucune envi de parler surgie. marquer une pose plus longue que les précédentes. Juste celle de tuer.
Laisser les orateurs sur cette fin, aussi neutre possible. Les orateurs doivent se demander ce qui va se passer après. Leur travail sera de faire une réflexion sur le sujet. Rien ne dois être dévoilé. Tout comme le ressenti, les sentiments qui ne sont pas transmit directement. L’orateur est libre…
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
La conséquence de la non possession.
Se plaindre incessamment de ce que nous ne possédons pas accroît les chances de tomber dans une névrose incontrôlable. L’Être humain que nous sommes agit devant son seul acquis. Malgré les recommandations que nous pouvons lui faire, lui seul est apte à décider… Imaginons une scène où l’on défends à un individu de faire quelque chose, celui ci va être tenté de le faire, de violer les interdits. Essayer, vous verrez. On ne peut donc pas obtenir d’un individu tout ce que l’on désire (quant à son comportement). Seul certain types d’individus sont soumis à d’autre. Le fait de se plaindre par rapport à la non-possession ne va qu’augmenter ce sentiment de frustration ou de dépendance. Cela, et cela seul explique le fait que lorsqu’une personne échoue, la plus part du temps, celle-ci devient dépressive et agressive envers sa propre personne (auto mutilation) ou envers les autres. Que ce soit dans de cours instant ou de longue période de la vie. Ces névroses peuvent être grave et entraîner la mort de cette personne ou de son « entourage ». Lorsque je parle de possession, il s’agit aussi bien du sens symbolique que premier.
Premier exemple :
Je désire faire passer l’idée de l’élève voulant absolument avoir de bonne note (possession dans le sens symbolique), si celui-ci échoue incessamment à tout ces examens, il va avoir le sentiment d’être « un raté ». Or ce sentiment est totalement subjectif vu que c’est exclusivement l’élève qui à défini son objectif : satisfaire ces parents ou alors dépasser le premier de la classe.
Deuxième exemple :
Quant à la forme de dépendance aigu, à la drogue en particulier, cela pose un autre problème. Effectivement, l’individu en question ne peut pas (ou plus) se passer de sa drogue. Par conséquent elle va chercher à en avoir régulièrement. Lorsque celle ci (la drogue) est épuisée, l’individu va partir à sa recherche. Seulement, dans cet état de dépendance, cette personne risque de mettre sa propre vie en danger mais aussi celle des autres. Cela est du à l’état second de celle-ci, elle ne se contrôle simplement plus, d’où le terme de névrose incontrôlable. Elle va donc user de tout ses moyens pour obtenir ce qu’elle désire (donc ce qu’elle ne possède pas, sa non possession).
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
L'inspiration et les sources me manquent pour pouvoir mettre une illustration. Si vous avez des propositions à me faire, n'hésitez pas.
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mardi 2 janvier 2007
Vitalij Kuprij.
Je vais, vous donner la possibilité de découvrir un excellent interprète de musique classique. Il s'agit de Vitalij Kuprij, un pianiste talentueux. Voici son site.
Je vous conseille s'y aller, même si vous n'aimez pas vraiment le classique, cela en vaut le détour !! Je ferai sûrement une présentation plus complète de lui et de la musique plus tard si je trouve de quoi rédiger une présentation digne de son nom.
Je vous conseille s'y aller, même si vous n'aimez pas vraiment le classique, cela en vaut le détour !! Je ferai sûrement une présentation plus complète de lui et de la musique plus tard si je trouve de quoi rédiger une présentation digne de son nom.
Préface nommée : réflexion sur les romans.
Un auteur inconnu, une œuvre qui sera vraisemblablement jamais publié, au fond de moi rien ne m’incite à lire son ouvrage. C’est ce qui fait là, la différence entre un homme cultivé et un homme ordinaire, ayant une mentalité dirigée par la télévision. C’est uniquement ma curiosité qui me pousse à lire ce manuscrit, encore tout frais et fondant, sortant d’une main novice du métier et non initié à l’art de l’écriture. Cette fameuse différence est, que l’homme instruit, intentionné ne va pas lire ce livre pour une quelconque histoire, mais va lire l’implicite, l’élément phare de ce texte et de tout les autres aussi, un phrase simple mais d’une importance majeur pour comprendre les écrivains. Qu’est-ce qui pousse un auteur à écrire, tout comme un musicien à interpréter voir composer divers morceaux, certain gai imposant la joie, d’autres mélancoliques, toujours joués ou lu de façon emphatique. L’écrivain ne va pas s’user, se raconter pour l’unique plaisir : superficiel aux yeux de certain, essentiel aux yeux d’autre, de raconter une simple histoire. Souvent, un traumatisme fait naître alors une envie irrésistible de dire, ou plutôt de se dire, de se mettre en avant. Reprocher ou justement conseiller. De diriger se monde aux couleurs de l’égoïsme, un monde rivé sur la compétition. Des écrivains, préfèrent s’évader dans leur récit, une évasion mutuelle entre l'auteur et le lecteur. Pour ma part, je me contenterai du récit brute, sans modelage ni euphémisme. Je n’ai pas besoin d’une histoire triste, où les lecteurs vont pleurer sur l’histoire et non sur la réalité. Je n’ai pas non plus besoin et encore moins envi de métamorphoser la réalité en fiction, une réalité manipulée par les médias, qui eux-même, ont banaliser la violence jusqu’au point de la monter au 20h de TF1 ou d'autres chaînes. Revenons tout de même à la différence entre ces deux comportements, regardons ensemble les deux cas de figures. Ceux qui lisent pour l’histoire, au fond ne lisent pas mais feintent de lire… Analysons ensemble les histoires, regardons, de tout temps les histoires ont soutenu un message implicite car compréhensible de tous, notamment au XVIII ème siècle avec les auteurs de l’Encyclopédie, par exemple Voltaire dans l’article nommé guerre va émettre sont idéologie sur la chose de manière sous jacente, bien que à l’époque la littérature était réservé à l’élite (encore la notion de l’élitisme et de la compétition que l’on retrouve encore actuellement). Il y avait tout de mêmes ces messages, qui étaient une forme de discourt. Alors pourquoi certaines personnes demeurent immobiles, se bandant les yeux ? Les textes, souvent adroits et précis, dégageant les ultimes sentiments, la compréhension et la compassion. Sans lecture, comment peut-on faire passer nos doctrines nos points de vue et nos appelles aux secours ??
Cernille IVELIN
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C'est moi qui ai écris ce texte. C'est pour cela que je vous demande de ne pas le modifier, le reproduire ou toutes autres choses sans mon autorisation. Merci
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